Aujourd’hui c’est Halloween, et comme chaque année des millions d’enfants vont faire le tour des maisons et des appartements en quête de bonbons et autres friandises. Un moment festif et amusant pour petits et grands mais qui, malheureusement, peut avoir de fâcheuses conséquences sur la santé bucco-dentaire de nos petits monstres.
Chaque année en France le secteur de la confiserie fait le plein et voit ses ventes bondir au moment d’Halloween. Une étude de l’institut Nielsen montre qu’à cette occasion, 1 foyer sur 2 achète des bonbons et autres sucreries, à raison de 7 euros et 3 sachets en moyenne. « La quinzaine représente 110 millions d’euros de ventes pour la confiserie, soit 5,4% des ventes annuelles » peut-on lire dans le rapport de l’institut.
Si ces chiffres vous donnent le vertige, attendez de voir ce qu’il en est aux Etats-Unis, là où cette fête est bien plus populaire encore ! L’édition américaine du site Business Insider a en effet compilé plusieurs données qui ont de quoi faire frémir toutes les quenottes :
172 millions d’Américains vont célébrer Halloween cette année et 95% d’entre eux ont prévu d’acheter des friandises, selon l’étude annuelle de Candystore.com. Cela veut dire qu’à peu près la moitié de la population des États-Unis (environ 327 millions de personnes), va acheter des bonbons pour Halloween cette année !
300 000 tonnes de bonbons sont vendues pour Halloween. Cela représente environ 2kg de bonbons par Américain, selon des calculs de Vox en 2016.
2,6 milliards de dollars : c’est le montant que vont dépenser les Américains pour acheter des friandises à distribuer aux enfants. À cela il faut ajouter, selon la National Retail Federation, 3,2 milliards de dollars pour les costumes et 2,7 milliards de dollars pour la décoration…
169 morceaux de sucres : c'est la quantité de sucre ingérée par les enfants à Halloween selon le magazine américain d’économie Fortune
Entre 3.500 et 7.000 calories : c’est ce que représente en calories le panier moyen de friandises récoltées par un enfant américain selon Donna Arnett de l'Université de l'Alabama
Sources : MoneyVox | Ouest France
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