Le magazine Solidarité et Progrès a répondu à une question posée par Gilles Guillen, un chirurgien-dentiste à Grasse. La question : Comment soutenir dans ces conditions de pression constante de la part des low-cost, la qualité et la survie des cabinets ?
A cette question, Agnès Farkas, en charge du secteur santé de Solidarité et Progrès, donne une réponse en plusieurs points, entre explication rationnelle de la non prospérité du système low-cost dans le secteur de la santé, nécessité d’obtenir une indépendance professionnelle, et volonté de rétablir la Sécurité Sociale dans les critères de 1945 du CNR (Conseil National de la Résistante), c'est-à-dire une santé pour tous et garantie par l’Etat.
A la fin, Agnès Fakras rappelle que la santé ne peut et ne doit pas être un commerce, en expliquant que l'Etat se doit d’être le garant d’un ajustement des tarifs des dentistes à leurs coûts de production, et non une autorité qui en fait des « variables d’ajustement ».
Retrouvez l’intégralité de sa réponse sur solidariteetprogres.org !
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