top of page
Rechercher
  • Photo du rédacteurDocteur Bridge

Une inégalité d’accès aux soins encore trop importante entre grandes villes et périphéries



Une étude de la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques (Drees) présentée le 13 juillet dernier devait analyser l’accessibilité aux généralistes, chirurgiens-dentistes, pédiatres, ophtalmologistes, gynécologues et psychiatres. Et le constat est sans appel : les inégalités d’accès aux soins persistent. Dans les communes en périphérie des grandes villes, qu’il s’agisse de ville ou de village, il est plus difficile d’obtenir des rendez-vous que dans les grandes villes.

UFC-Que choisir avait déjà tiré ces conclusions fin juin 2016 : les zones rurales sont davantage concernées par les déserts médicaux, mais les zones urbaines sensibles le sont aussi. Plus globalement, « le recul de la présence des médecins sur le territoire est généralisé, et aucune région n’est épargnée ».

En 2013, pour les chirurgiens-dentistes, l’indicateur d’accessibilité potentielle localisée (APL) atteint 61 ETP (Equivalents Temps Plein) pour 100 000 habitants dans les grandes villes, contre 46 ETP dans les communes urbaines environnantes et 22 et milieu rural. Pour comparaison, les généralistes ont un APL de 81 ETP pour 100 000 habitants dans les pôles urbains, 69 sur l’ensemble du territoire et 49 dans les communes rurales.

Les inégalités d’accessibilité aux soins persistent ainsi encore en France…

Pour découvrir l’article en intégralité, rendez-vous sur mutualite.fr !


bottom of page