Praticien, assistante dentaire, patient… les relations proches que peuvent induire l’environnement du cabinet dentaire peut créer des rapprochements. Bien sûr, les relations amoureuses au travail existent dans tous les domaines, notamment parce que les professionnels y passent la majorité de leurs journées.
Thedentalist.fr propose un article complet sur ce thème, et étudie ces relations naissantes au sein d’un environnement dentaire, entre organisation, conséquences et dérives.
Malgré le fait que 67% des français refuse l’idée de l’amour et du sentiment amoureux dans l’entreprise, 1 français sur trois avoue avoir déjà eu une relation (sentimentale, amoureuse ou sexuelle) avec une personne rencontrée dans le cadre de l’entreprise.
Chez les chirurgiens-dentistes, 70% des praticiens travaillent avec leur conjoint praticien (étude menée aux USA). Beaucoup se sont souvent rencontrés sur les bancs de la fac dentaire avant de partager un cabinet en couple, profitant ainsi des avantages financiers, mais aussi de plus de temps partagé et d’une meilleure communication. Mais ce partage possède aussi des risques, notamment celui du sentiment d’invasion de la vie privée que peut ressentir l’un des deux conjoints, ou encore la déstabilisation au cabinet qu’engendrerait une difficulté dans le couple.
Le praticien et son assistante dentaire entretiennent des relations de proximité particulièrement fortes. Sans distance émotionnelle particulièrement établie, la proximité physique peut ensuite se traduire par une relation naissante. Mais attention aux dérives : cela peut aussi engendrer harcèlement sexuel et tensions au cabinet, en cas de dégradation de la relation.
Enfin, selon une étude américaine, un praticien sur 5 a déjà eu une relation, une aventure avec un de ses patients. En France, 29% des chirurgiens-dentistes estiment qu’une relation amoureuse avec un patient est envisageable, bien que le praticien risque des sanctions. La proximité et la position dominante du chirurgien-dentiste peuvent induire sentiments et désirs de la part du patient…
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